Journal de la prairie jour 39
Demain c’est le week-end... Oh yeah ! Et vous savez ce que l’on va faire dans ma prairie ce week-end ? Et bien, on va caresser non stop (genre H24) le petit toutou trop mignon que je suis allée récupérer après la tournée. Oui, on a décidé d’en reprendre un tout de suite parce que la violence de la perte avait besoin d’être oubliée. Enfin oubliée pas vraiment, mais mise dans un coin de tête pour se concentrer sur autre chose. Le fait de ressasser encore et encore ce qui s’est passé ne fera pas revenir notre chien-chien, mais par contre le fait de penser à lui souvent en se remémorant les bons moments et d’avoir envie d’en accueillir un autre parce que c’était une brave bête et que les braves bêtes font aimer toutes les bêtes fera qu’il reste présent dans nos cœurs. Je sais, cela peut paraître secondaire en ce moment, mais n’empêche : une bestiole de n’importe quelle espèce est un sacré pilier. Le genre qui reste droit sur ses pattes alors que le monde est en train de flancher. Aujourd’hui, pas de coronamachinbidule ni de devoirs à faire, juste des caresses à gogo et du positif. Une lueur dans le brouillard... qui prend la forme d’un surnommé « John raclette » (je vous expliquerai dans un prochain billet pourquoi ce drôle de surnom) dont les plis lui font ressembler à un accordéon... À demain, les zamis. Prenez soin de vous...